Utilisant un moteur de recherche, l’autre jour, je suis parti en quête de quelques personnes que j’avais connues il y a vingt ans de cela. Il s'agissait de personnes qui m’avaient marqué, pour une raison ou une autre...
J’en retrouvais au total trois, avec certitude (il faut compter en effet sur le problème des homonymes existants) ; non seulement je trouvais leur trace respective mais également leurs
adresses électroniques ; je pouvais reprendre contact.
L’une de ces personnes est aujourd’hui professeur dans un lycée à Paris ; l’autre, directrice de communication dans une entreprise française ; la troisième, est professeur dans une université d’Outre-Rhin.
Je commençais donc à rédiger un message à chacun, mais bientôt j’abandonnais finalement le tout, avant même d’avoir envoyé quoi que ce soit.
Laissons donc le passé là où il est.
Il faut, je crois, savoir oublier, apprendre à oublier…
“The past is
a foreign country” (The Go-Between de Joseph Losey, d’après Leslie Poles Hartley ; 1970).